Ah, Nokia . La marque qui a connecté tant de gens dans les années 90. La marque qui a grimpé si haut sur le marché des communications mobiles, pour plonger à des niveaux inimaginables au cours des dernières années. Sous la nouvelle propriété de Foxconn et HMD^{(Foxconn and HMD)} global, la marque emblématique a repris sa production de feature phone s, les ancêtres des appareils mobiles actuels. Comme beaucoup d'entre vous sont intéressés de voir où cette nouvelle route mènera l'entreprise finlandaise, nous avons décidé de faire une pause dans nos critiques habituelles d'équipements de haute technologie et d'aller audacieusement là où peu sont allés auparavant : nous avons testé le Nokia 150 , un nouveau -téléphone fonctionnel^{(feature phone)} qui se vend moins de 30 USD. Voyons ce que ce bébé peut faire, d'accord ?

Emballage, conception et qualité de fabrication du Nokia 150

Avant d'aller plus loin, répondons à une question simple : qu'est-ce qu'un « feature phone » ? Clair et douloureusement simple^(Plain) , c'est l'exact opposé de ce que son nom suggère : un téléphone sans aucune fonctionnalité. C'est le téléphone qu'utilisent vos proches sans espoir technologique. Le téléphone que les hipsters achètent pour se sentir vintage. C'est le seul objet qui reste après que quelqu'un est entré par effraction dans votre voiture. Et pourtant, c'est le téléphone qui a le potentiel de durer plus longtemps que tous les autres appareils électroniques existants, à la fois en ce qui concerne la batterie et l'endurance globale. Maintenant que nous avons réglé ce problème et après avoir établi vos attentes au niveau du sol^{(ground level)} , reprenons notre procédure d'examen^{(review procedure)} habituelle :

Le téléphone est livré dans une boîte blanche, avec des photos du téléphone sous différents angles sur la couverture^{(front cover)} .

La boîte contient le téléphone (en blanc, sur notre échantillon de test ), la batterie, le ^{(test sample)}chargeur^{(USB charger)} micro USB et la notice. Malheureusement, aucun casque n'était inclus dans le colis que nous avons reçu. Mais, selon l'endroit où vous vivez, vous pourriez en trouver un inclus.

Bien? Qu'attendriez-vous d'un téléphone qui coûte moins de 30 dollars ? Un chargeur sans fil^{(wireless charger)} ? Le téléphone n'a même pas de capacités WiFi , mais nous y reviendrons dans une minute.

Le chargeur de 550 mA est petit, à la fois en sortie et en taille^{(output and size)} et, dans la tradition Nokia^{(Nokia tradition)} , le câble est inamovible du chargeur^{(charger unit)} . Avant de vous procurer les fourches, rappelez-vous cependant qu'il s'agit d'un « feature phone », donc même le fait que le port de charge soit au format micro-USB est choquant.

Le téléphone est disponible en deux couleurs, noir terne et extrêmement blanc. Oui, j'ai inventé ces noms, mais vous devez admettre qu'ils sonnent vrai. Le boîtier est en polycarbonate et il garde sa couleur même lorsqu'il est rayé, ce qui est une bonne chose compte tenu de l'éventail d'utilisateurs de ce petit téléphone.

À quel point, demandez-vous? Il mesure 4,65 pouces (118 mm) de haut, 1,97 pouces (50,2 mm) de large et 0,53 pouces (13,5 mm) d'épaisseur. Devinette rapide : qu'est-ce qui est blanc, élégant, durable et pèse 3,99 onces ? Faux^(Wrong) , la réponse est l'iPhoneSE, que nous avons déjà examiné et dont nous sommes simultanément tombés amoureux. Pour en revenir à notre téléphone polyvalent^{(feature phone)} , il ne pèse que 2,85 onces ou 81 grammes avec la batterie amovible incluse (prenez cela, iPhone), il est donc raisonnablement léger. Le téléphone semble encore plus petit en raison de ses coins arrondis et, combiné à la texture du boîtier, en fait une pièce de technologie ancienne très glissante.

En venant d'un smartphone, vous constaterez que l'avant du téléphone a ces choses étranges sous l'écran, et une recherche rapide sur Internet^{(Internet search)} vous dira qu'elles sont appelées "boutons" ou "touches". Le clavier s'allume lorsqu'il est utilisé (je sais, époustouflant) et les boutons sont relativement faciles à appuyer. Le bouton au milieu agit comme un joystick, mais il n'y a aucune chance que vous puissiez l'utiliser correctement à moins d'avoir de petites mains (en essayant de ne pas insérer une blague de Donald Trump^{(Donald Trump joke)} ici).

L'écran de 2,4 pouces est la caractéristique dominante à l'avant du téléphone. À part le logo Nokia^{(Nokia logo)} , la grille du haut-parleur^{(speaker grille)} et le microphone, vous ne trouverez pas d'autres fonctionnalités à l'avant du Nokia 150 (ma dépendance au selfie^{(selfie addiction)} en souffre beaucoup, mais tout est au nom de la science). Bien sûr, il ne faut pas s'attendre à des fonctionnalités exotiques comme un capteur de lumière et de proximité^{(light and proximity sensor)} ou même à cette fonctionnalité très avancée nommée "notification LED ". Où penses-tu que tu es? Au 21ème siècle?

Le bas et les côtés^{(bottom and sides)} du téléphone sont aussi blancs que la fiche technique^{(feature sheet)} , sans bascules de volume ni aucun autre élément susceptible de perturber le design élégant du téléphone.

Le haut du téléphone abrite le port de charge^{(charging port)} micro-USB et la prise casque^{(headphone jack)} , tandis que l'arrière du téléphone abrite la grille du haut-parleur^{(loudspeaker grille)} , l' appareil photo VGA^{(VGA camera)} et un flash.

Avant de passer au chapitre suivant, j'ajouterai juste le fait que la coque arrière est amovible, tout comme la batterie. Après avoir retiré les deux, vous pourrez accéder à la fois à la fente pour carte ^{(card slot)}SIM (taille mini SIM^{(SIM size)} , pas micro ou nano SIM ) et à la fente pour carte^{(card slot)} microSD . D'accord^(Okay) , très bien, vous pouvez ajouter la fente pour carte^{(card slot)} microSD en tant que fonctionnalité.

La conception du téléphone est propre, simple et pourrait même être considérée comme attrayante par certains. Le boîtier en polycarbonate est agréable au toucher, bien qu'il soit glissant. Certaines touches sont trop petites et trop proches les unes des autres pour l'utilisateur moyen, mais avec de la pratique et des ongles, vous serez capable de taper correctement le numéro que vous voulez appeler. La plupart du ^{(The phone design is clean, simple and might even be considered appealing by some. The polycarbonate case feels okay to the touch, albeit being slippery. Some keys are too small and too close to one another for the average user, but with practice and fingernails, you'll be able to type correctly the number you want to call. Most of the )}temps ^(time).

Spécifications matérielles^(Hardware) et interface logicielle^{(software interface)} du Nokia 150

Le Nokia 150 a deux versions, une simple SIM et une double SIM. Nous avons testé la version single SIM , qui bénéficie d'une ^{(SIM version)}autonomie^{(battery life)} légèrement plus longue . Maintenant, je ne sais pas quelle est votre définition de "batterie longue durée", mais si vous n'avez qu'une expérience de smartphone, vous pourriez considérer que trois jours est une excellente autonomie^{(battery life)} . Comparer cela à la durée de vie^{(battery life)} de la batterie du Nokia 150 pourrait entraîner une révélation : la durée de vie déclarée de la batterie du ^{(battery life)}Nokia 150 mono-SIM est de 31 jours. Oui, un mois complet. La variante double SIM a une autonomie revendiquée^{(battery life)}de "seulement" 25 jours. Nous testerons cela dans le chapitre suivant, mais même si c'est la moitié de cela, cela qualifie le Nokia 150 d'excellent téléphone de secours^{(backup phone)} .

Bien sûr, nous ne pouvons pas parler de vitesse de processeur et de nombre de cœurs, car les téléphones Nokia^{(Nokia feature)} sont traditionnellement alimentés par de petits gremlins finlandais. Ce que l'on peut vous dire par contre, c'est que le Nokia 150 n'a pas de mémoire interne réservée aux fichiers multimédias, donc si vous voulez prendre des photos ou écouter des fichiers MP3 , vous devez équiper le téléphone d'une carte microSD (jusqu'à 32 Go prise en charge).

L'écran est un écran QVGA^{(QVGA screen)} époustouflant de 2,4 pouces . Vous avez bien lu, QVGA , ce qui signifie 240 par 320 pixels. Même l'écran de mon imprimante a plus de pixels que ça ! Comme l'écran est plutôt petit, la densité de pixels de^{(inch pixel density)} 166 points par pouce est comparable à celle de l'iPhone. Non, je ne parle pas de l'iPhone SE, je parle de l'iPhone d'origine, sorti en 2007. Étonnamment, l'écran du Nokia 150 est capable de restituer les couleurs, mais seulement 65 000 (contre 16 millions ou plus qui s'affichent à partir de ce siècle peut rendre).

La caméra arrière^{(back camera)} a une résolution de 640 par 480 pixels. Avec 0,3 mégapixels, la seule utilisation qui me vient à l'esprit pour les photos prises par le Nokia 150 est une photo encadrée du ^{(Nokia 150)}salon^{(living room)} d'une fourmi . Oui, je suis un peu dur avec un téléphone qui coûte moins cher qu'une coupe de cheveux, mais ce n'est que le début, promis je ferai mieux au prochain chapitre. Encore une fois^(Again) , compte tenu des spécifications, il est inutile de parler de distance focale ou de mise au point variable, mais au moins il a un flash, qui se double d'une lampe de poche. Yay! La caméra peut enregistrer des vidéos à 144 par 176 pixels et 12 images par seconde, qui peuvent ensuite être utilisées avec succès comme vidéos miniatures et pas grand-chose d'autre.

Et ici, parmi la pléthore de fonctionnalités avec lesquelles le Nokia 150 nous gâte, vient l'un des problèmes que je considère comme étant un dealbreaker : le téléphone ne peut se connecter qu'aux réseaux bi-bande 2.5G (900/1800 MHz ). Vous pourriez dire "mais pourquoi aurait-il besoin de 3G ou plus s'il n'a pas accès à Internet ?" Eh bien, c'est parce que certains fournisseurs de services GSM^{(GSM service)} ont mis à niveau leur infrastructure vers la 3G et n'ont plus de couverture 2G. C'est un gros problème, car cela pourrait rendre le téléphone presque inutile dans certaines régions du monde. En ce qui concerne la connectivité, l'appareil dispose d'un adaptateur Bluetooth 3.0 et est également accessible avec un câble USB^{(USB cable)} .

La batterie est une batterie amovible Li-Ion 1020 mAh^{(mAh battery)} . Pour ceux d'entre vous qui ont eu des téléphones Nokia dans le passé, il s'agit de la même vieille batterie BL-5C, qui est utilisée dans une variété de téléphones Nokia^{(Nokia feature)} . Il est capable de maintenir le téléphone alimenté pendant un mois complet en veille ou 22h lorsqu'il est utilisé pour des conversations.

Passant à l' environnement logiciel^{(software environment)} , le Nokia 150 utilise la plate-forme " Nokia Series 30+ ", et après avoir utilisé le téléphone pendant environ deux semaines, je soupçonne que le " 30+ " vient de l'âge du logiciel. Dans des années. Le logiciel est instantanément familier à tous ceux qui ont déjà utilisé un téléphone polyvalent Nokia^{(Nokia feature)} et fournit des fonctions de base, telles que le journal des appels^{(Call log)} , les contacts , le réveil^{(Alarm Clock)} , le calendrier^(Calendar) , la messagerie^(Messaging) et la calculatrice^(Calculator) . Il dispose également de fonctions multimédias, comme la radio FM^{(FM Radio)} (disponible uniquement lorsqu'un casque est connecté), lecteur MP3^{(MP3 player)} ,appareil photo et galerie de photos^{(camera and photo gallery)} , ainsi qu'un lecteur vidéo^{(video player)} et " Snake Xenzia ", une mauvaise interprétation du jeu Snake^{(Snake game)} des anciens Nokia^(Nokias) .

Gardant à l'esprit ses objectifs principaux, celui d'un téléphone de secours^{(backup phone)} et/ou d'un téléphone pour les personnes qui ne peuvent pas ou ne veulent pas gérer un smartphone, le logiciel fait ce qu'il doit faire : il fournit des fonctionnalités de base sans aucun problème ni décalage. Sauf pour le jeu Snake^{(Snake game)} , mais nous en parlerons dans le prochain chapitre.

Le téléphone a des capacités et des fonctions limitées, comme c'est la tradition pour les téléphones polyvalents. La durée de vie de la batterie est excellente et le logiciel est exempt de bogues (peut-être parce qu'il est si simple qu'aucun bogue ne peut entrer dans le code). Le seul problème majeur est que l'appareil n'est pas compatible 3G et qu'il sera inutile pour certains acheteurs potentiels.^{(The phone has limited capabilities and functions, as is the tradition for feature phones. Battery life is excellent, and the software is bug-free (maybe because it's so simple that no bugs can fit in the code). The only major issue is that the device is not 3G capable and it will be useless for some potential buyers.)}

Performances réelles du Nokia 150

Si vous êtes un lecteur régulier de Digital Citizen^{(Digital Citizen reader)} , vous remarquerez l'absence d'une section Benchmarks^{(Benchmarks section)} , et la raison est évidente. Les seuls tests de performances pouvant être effectués sur le Nokia 150 sont "jusqu'où peut-on s'éloigner de la civilisation avant de devoir la recharger" et "combien de photos prises avec le Nokia 150 peut-on stocker sur une carte de 512 Mo" (la réponse à le dernier est supérieur à 9000^{(over 9000)} ). Voyant comment je ne pouvais pas concevoir un autre test non destructif pour ce petit appareil, j'ai simplement commencé à l'utiliser.

Les premières minutes avec le Nokia 150 ont été plutôt comiques : je parcourais encore et encore tous les éléments du menu, essayant de trouver la moindre trace d'une connexion Internet : un navigateur, un messager, une boutique d'applications^{(app store)} , N'IMPORTE QUOI ! Ma mère utilise un Nokia 100 , donc je connaissais bien les commandes (puisqu'ajouter des numéros au répertoire téléphonique^{(Phone Book)} est trop compliqué pour elle). En fait, à l'époque où j'en possédais un, mais on les appelait simplement "téléphones portables", et Missy Elliott était toujours une chose. De plus, l' Internet sur les téléphones portables était à peu près de la science-fiction^{(science fiction)} à l'époque.

Première chose à noter : le menu du Nokia 150 est extrêmement simple. Il a un total de 16 icônes, toutes visibles une fois que vous appuyez sur le bouton Menu^{(Menu button)} . La structure du menu^{(menu structure)} est immédiatement reconnaissable pour quelqu'un qui n'a pas vécu dans une grotte depuis 20 ans. Toutes les fonctionnalités du téléphone sont facilement accessibles grâce aux raccourcis dédiés sur le joystick central. Bon^(Well) , relativement facile, pas tant que ça si vous avez de gros doigts puisque les boutons sont assez petits et exigus.

Après avoir échangé la carte SIM de^{(SIM card)} test avec celle d'un autre fournisseur (car celle que j'utilisais n'avait qu'une couverture 3G), j'ai testé la qualité des appels^{(call quality)} à l' intérieur. En plus d'être un peu silencieux, le haut-parleur du Nokia 150 ne présentait aucun défaut audible.

Comme tout bon critique le ferait, j'ai testé le Nokia 150 dans toutes sortes de situations, y compris en l'utilisant en public. En marchant dans une rue relativement passante, avec un trafic constant, j'ai constaté que le volume du haut-parleur au maximum n'est pas suffisant pour couvrir le bruit.

En revanche, si vous connectez un casque, le son est fort et clair, même si la qualité sonore n'est que moyenne pour la musique. Comme mentionné précédemment, le téléphone dispose d'un récepteur FM^{(FM receiver)} , j'ai donc écouté ma station de radio^{(radio station)} locale préférée pendant que j'étais sur mon vélo, avec très peu de problèmes de réception.

J'ai également testé les capacités vidéo et photo^{(video and photo capabilities)} , qui, comme vous pouvez le voir, semblent provenir d'un autre siècle. Les photos manquent de détails^{(lack detail)} ; les vidéos sont minuscules et inutilisables sur des écrans plus grands. Voici un exemple (en taille originale !) d'une photo prise avec le Nokia 150 .

En basse lumière, la qualité se dégrade encore plus, comme vous pouvez le voir ci-dessous :

Vous pouvez également jeter un œil ici aux autres photos que nous avons prises avec ce téléphone, dans la galerie ci-dessous.

Ensuite, j'ai tourné une vidéo à l'intérieur, que vous pouvez voir ci-dessous :

Il y a aussi une vidéo présentant des sujets en mouvement, afin que vous ayez une idée des capacités d' enregistrement vidéo de ce téléphone. ^{(video recording)}Modeste^(Modest) est un euphémisme. 🙂

En parlant d'écrans, l' écran du Nokia 150 est lumineux et la faible densité de pixels^{(pixel density)} n'est pas un problème pour l'utilisateur régulier. Bien sûr, venant d'un smartphone, l'écran semble archaïque, mais les polices utilisées et la quantité d'informations affichées aident beaucoup à la lisibilité.

La durée de vie^{(battery life)} de la batterie est proche des valeurs déclarées : je l'ai chargée au début de la session de test, et à la fin de celle-ci, la batterie était à environ 50 %. En extrapolant, cela se traduit par 20 à 30 jours d' autonomie^{(battery life)} en veille, ce qui est beaucoup, même selon les normes des téléphones^{(feature phone)} multifonctions. Vous pouvez oublier où vous avez placé le chargeur (surtout si vous devenez vieux et oublieux, comme moi).

L'étui s'est avéré être bien fait, mais il s'est rayé après quelques jours de partage d'une poche avec les clés de mon appartement.

Dans l'ensemble, il y avait aussi une différence d'attitude de ma part envers l'appareil. Alors^(Whereas) qu'avant, avec le smartphone, je faisais attention à ne pas le faire tomber, à ne pas le rayer ou le soumettre à des températures extrêmes, avec le Nokia 150 je commençais à être plus "détendu". C'est devenu moins un gadget qu'un outil.

Ce que je trouve cependant inacceptable, c'est le fait que le jeu Snake^{(Snake game)} était presque injouable, en raison du décalage entre l' entrée de l'utilisateur^{(user input)} et les mouvements du serpent. Comment peut-on se détendre et jouer à un jeu aussi génial avec ce délai d'entrée^{(input delay)} ? Inacceptable!

Oh, j'ai oublié la partie où j'ai perdu la chance de rencontrer mon âme sœur lors de l'examen de ce téléphone. Elle était magnifique; elle marchait dans la rue, je la regardais dans les yeux, elle regardait le Nokia 150 que j'utilisais pour prendre des photos. Elle est passée, pour ne plus jamais être revue, et franchement, qui pourrait lui en vouloir ? Je veux dire, seriez-vous intéressé par un gars à l'air idiot essayant d'enregistrer une vidéo du trafic avec un " téléphone^{(feature phone)} polyvalent " ?

Avantages et inconvénients du Nokia 150

En résumant nos découvertes, j'ai aimé ce qui suit :

• Excellent prix
• Conception décente^{(Decent design)} pour un téléphone polyvalent et une ^{(feature phone)}qualité de construction^{(build quality)} robuste
• De taille réduite
• Excellente autonomie de la batterie
• Très facile à apprendre et à utiliser

Cependant, il y a aussi des choses que je n'ai pas aimées :

• LE JEU SNAKE XENZIA EST EN RETARD !
• Le haut-parleur n'est pas assez puissant pour une utilisation en extérieur^{(outdoor use)}
• Non utilisable dans les réseaux cellulaires 3G
• Les photos et vidéos prises avec le Nokia 150 sont à l'image de ma vie amoureuse^{(love life)} : floues et peu fidèles. 🙂

 

Verdict

Le Nokia 150 est un téléphone polyvalent^{(feature phone)} moyen . J'ai apprécié la présence d'un emplacement pour carte MicroSD^{(MicroSD card)} , la durée de vie de^{(battery life)} la batterie et la simplicité et la facilité^{(simplicity and ease)} d'utilisation. Compte tenu du petit prix^{(price tag)} et des plus de 25 jours d' autonomie de la batterie^{(battery life)} en veille, le téléphone est excellent comme téléphone de secours^{(backup phone)} . J'ai toujours un téléphone de rechange dans ma voiture, en cas d'urgence. Cependant, la petite taille et la faiblesse du haut-parleur rendent le Nokia 150 inadapté aux personnes âgées ou à une utilisation dans des environnements bruyants. Le fait qu'il ne supporte que la 2G le rend encore moins attrayant. Si un retour des feature phone est imminent, le Nokia 150n'est certainement pas son héraut.

Reviewing the Nokia 150 - The return of feature phones?

Ah, Nokia. The brand that connected so many people back in the nineties. The brand that soared so high in the mobile communications market, only to dip to unimaginable lowѕ in the last few years. Under the new ownership of Foxconn and HMD global, the iconic brand has resumed its production of feature phoneѕ, the ancestors of сurrent mobile devices. Since many of you are interested in seeing where this new road will take the Finnish companу, we decided to take a break from our usual reviews of high-tech equipment and boldly go where few havе gonе before: we tested the Nokia 150, a fresh-looking feature phone which retails for less than USD 30. Let's see what this babу can do, shall we?

Packaging, design and build quality of the Nokia 150

Before we go any further, let's answer a simple question: what on Earth is a "feature phone"? Plain and painfully simple, it is the exact opposite of what its name suggests: a phone with no features whatsoever. It's the phone that your tech-hopeless relatives use. The phone that hipsters buy to feel vintage. It's the one item that's left behind after someone breaks into your car. And yet, it's the phone that has the potential to outlast every other electronic device in existence, both regarding battery and overall endurance. Now that we got this out of the way and after setting your expectations at ground level, let's resume our usual review procedure:

The phone comes in a white box, with photos of the phone from different angles on the front cover.

The box contains the phone (in white, on our test sample), the battery, the micro USB charger and the manual. Sadly, no headset was included in the package we received. But, depending on where you live, you might find one included.

Well? What would you expect from a phone that costs less than 30 bucks? A wireless charger? The phone doesn't even have WiFi capabilities, but we'll get to that in a minute.

The 550mA rated charger is small, both in output and size and, in the Nokia tradition, the cable is non-removable from the charger unit. Before getting the pitchforks, remember though that this is a "feature phone," so even the fact that the charging port is in micro-USB format is shocking.

The phone comes in two colors, dull black and extremely white. Yes, I made up those names, but you must admit they sound real.The case is made of polycarbonate, and it keeps its color even when scratched, which is a good thing, considering the range of users for this small phone.

Just how small, you ask? It's 4.65 inches (118 mm) tall, 1.97 inches (50.2 mm) wide and 0.53 inches (13.5 mm) thick. Quick riddle: what's white, sleek, durable and weighs 3.99 ounces? Wrong, the answer is the iPhoneSE, which we previously reviewed and simultaneously fell in love with. Coming back to our feature phone, it only weighs 2.85 ounces or 81 grams with the removable battery included (take that, iPhone), so it's reasonably light. The phone feels even smaller due to its rounded corners and, combined with the texture of the case, makes for a very slippery piece of ancient tech.

Coming from a smartphone, you will find that the front of the phone has these weird things below the screen, and a quick Internet search will tell you they're called "buttons" or "keys." The keypad lights up when used (I know, mind-blowing) and the buttons are reasonably easy to press. The button in the middle acts like a joystick, but there is no chance you'll be able to use it properly unless you have tiny hands (trying hard not to insert a Donald Trump joke here).

The 2.4-inch screen is the dominant feature on the front of the phone. Other than the Nokia logo, the speaker grille, and the microphone, you won't find other features on the front of the Nokia 150 (my selfie addiction suffers greatly, but it's all in the name of science). Of course, you should not expect exotic features like a light and proximity sensor or even this highly advanced feature named "notification LED." Where do you think you are? In the 21st century?

The bottom and sides of the phone are as white as the feature sheet, with no volume rockers or any other items to disturb the sleek design of the phone.

The top of the phone houses the micro-USB charging port and the headphone jack, while the back of the phone houses the loudspeaker grille, the VGA camera, and a flash.

Before moving on to the next chapter, I will just add the fact that the back cover is removable, as is the battery. After removing both you'll be able to access both the SIM card slot (mini SIM size, not micro or nano SIM) and the microSD card slot. Okay, fine, you can add the microSD card slot as a feature.

The phone design is clean, simple and might even be considered appealing by some. The polycarbonate case feels okay to the touch, albeit being slippery. Some keys are too small and too close to one another for the average user, but with practice and fingernails, you'll be able to type correctly the number you want to call. Most of the time.

Hardware specifications and software interface of the Nokia 150

The Nokia 150 has two versions, a single-SIM, and a dual-SIM one. We reviewed the single SIM version, which boasts a slightly longer battery life. Now, I don't know what your definition of "long-lasting battery" is, but if you only have smartphone experience, you might consider that three days is excellent battery life. Comparing that to the battery life of the Nokia 150 might bring about a revelation: the declared battery life of the single-SIM Nokia 150 is 31 days. Yes, a full month. The dual-SIM variant has a claimed battery life of "only" 25 days. We'll test this in the next chapter, but even if it's half that, it qualifies the Nokia 150 as an excellent backup phone.

Of course, we can't talk about processor speeds and the number of cores, since Nokia feature phones are traditionally powered by little Finnish gremlins. What we can tell you, though, is that the Nokia 150 has no internal memory reserved for media files, so if you want to take pictures or listen to MP3 files, you need to equip the phone with a microSD card (up to 32 GB supported).

The screen is a mind-boggling 2.4-inch QVGA screen. You read it right, QVGA, which means 240 by 320 pixels. Even the display on my printer has more pixels than that! Since the screen is rather small, the 166 dots per inch pixel density is comparable to the iPhone. No, I don't mean the iPhone SE, I mean the original iPhone, released in 2007. Shockingly enough, the screen of the Nokia 150 is capable of rendering colors, albeit only 65.000 (compared to 16 million or more that displays from this century can render).

The back camera has a resolution of 640 by 480 pixels. With 0.3 megapixels, the only use I can think of for the photos taken by the Nokia 150 is a framed picture of an ant's living room. Yes, I'm a bit harsh on a phone that costs less than a haircut, but this is just the beginning, I promise I'll do better in the next chapter. Again, considering the specs, there is no point talking about focal length or variable focus, but at least it has a flash, which doubles as a flashlight. Yay! The camera can record videos at 144 by 176 pixels and 12 frames per second, which can then be successfully used as thumbnail videos and not much else.

And here, among the plethora of features that the Nokia 150 spoils us with, comes one of the issues that I consider as being a dealbreaker: the phone can only connect to dual-band 2.5G (900/1800 MHz) networks. You might say "but why would it need 3G or more if it has no access to the Internet?" Well, it's because some GSM service providers have upgraded their infrastructure to 3G and don't have 2G coverage anymore. This is a big issue, since it might render the phone almost useless in some areas of the world. As far as connectivity goes, the device has a Bluetooth 3.0 adapter and can also be accessed with a USB cable.

The battery is a removable Li-Ion 1020 mAh battery. For those of you who had Nokia phones in the past, it's the same old BL-5C battery, which is used in a variety of Nokia feature phones. It is capable of keeping the phone powered for a full month on standby or 22h when used for conversations.

Moving on to the software environment, the Nokia 150 uses the "Nokia Series 30+" platform, and after using the phone for about two weeks, I suspect the "30+" comes from the age of the software. In years. The software is instantly familiar to anyone who ever used a Nokia feature phone, and provides basic functions, such as Call log, Contacts, Alarm Clock, Calendar, Messaging, and Calculator. It also has multimedia functions, like FM Radio (available only when a headset is connected), MP3 player, camera and photo gallery, as well as a video player and "Snake Xenzia," a poor rendition of the Snake game from the old Nokias.

Keeping in mind its primary purposes, that of a backup phone and/or a phone for people who can't or won't handle a smartphone, the software does what it should do: it provides basic capabilities without any glitches or lag. Except for the Snake game, but we'll cover that in the next chapter.

The phone has limited capabilities and functions, as is the tradition for feature phones. Battery life is excellent, and the software is bug-free (maybe because it's so simple that no bugs can fit in the code). The only major issue is that the device is not 3G capable and it will be useless for some potential buyers.

Real-life performance of the Nokia 150

If you are a regular Digital Citizen reader, you will notice the absence of a Benchmarks section, and the reason is obvious. The only performance tests that can be done on the Nokia 150 are "how far can one get from civilization before one needs to recharge it" and "how many pictures taken with the Nokia 150 can one store on a 512MB card" (the answer to the last one is over 9000). Seeing how I could not devise another non-destructive test for this tiny apparatus, I simply began to use it.

The first few minutes with the Nokia 150 were kind of comical: I was going again and again through all the menu items, trying to find any trace of an internet connection: a browser, a messenger, an app store, ANYTHING! My mother uses a Nokia 100, so I was pretty familiar with the controls (since adding numbers to the Phone Book is too complicated for her). Actually, back in the days I owned one of these, but they were simpy called "mobile phones," and Missy Elliott was still a thing. Also, the Internet on cell phones was pretty much science fiction back then.

First thing of note: the menu of the Nokia 150 is painfully simple. It has a total of 16 icons, all visible once you press the Menu button. The menu structure is instantly recognizable for someone who hasn't been living in a cave for the past 20 years. All the features of the phone are easily accessible through the dedicated shortcuts on the central joystick. Well, relatively easy, not that much if you have big fingers since the buttons are fairly small and cramped.

After swapping the test SIM card with one from a different provider (as the one I was using had only 3G coverage), I tested the call quality indoors. Apart from being a bit on the quiet side, the speaker of the Nokia 150 had no audible defects.

As any good reviewer would, I tested the Nokia 150 in all kinds of situations, including using it in public. While walking down a relatively busy street, with constant traffic, I found that the volume of the speaker at maximum is not enough to cover the noise.

On the other hand, if you connect a set of headphones, the sound is loud and clear, although the sound quality is only average for music. As mentioned earlier, the phone has an FM receiver, so I listened to my favorite local radio station while I was on my bike, with very few reception issues.

I also tested the video and photo capabilities, which, as you can see, appear to come from a different century. The photos lack detail; the videos are minuscule and unusable on larger screens. Here you have an example (in the original size!) of a picture taken with the Nokia 150.

In low light, the quality degrades even more, as you can see below:

You can also take a look here at the other pictures we took with this phone, in the gallery below.

Next, I shot a video indoors, which you can see below:

There's also a video featuring moving subjects, so that you get an idea about this phone's video recording capabilities. Modest is an understatement. 🙂

Talking about screens, the Nokia 150 screen is bright and the low pixel density is not a problem for the regular user. Of course, coming from a smartphone, the screen looks archaic, but the fonts used and the amount of information displayed help the legibility quite a lot.

The battery life is close to the declared values: I charged it at the beginning of the testing session, and by the end of it, the battery was at roughly 50%. Extrapolating, this translates into 20 to 30 days of battery life on standby, which is a lot even by feature phone standards. You can forget where you placed the charger (especially of you're getting old and forgetful, like me).

The case proved to be well made, but it did get scratched after a few days of sharing a pocket with my apartment keys.

Overall, there was also a difference in attitude on my part towards the device. Whereas before, with the smartphone, I was careful not to drop it, not to scratch it or subject it to extreme temperatures, with the Nokia 150 I started to be more "relaxed." It became less of a gadget and more of a tool.

What I find unacceptable though is the fact that the Snake game was close to unplayable, due to the lag between the user input and the movements of the snake. How can one relax and play such an awesome game with this input delay? Unacceptable!

Oh, I forgot the part where I lost the chance to meet my soulmate during the review of this phone. She was gorgeous; she was walking down the street, I was staring in her eyes, she was staring at the Nokia 150 that I was using to take some pictures. She walked by, never to be seen again, and frankly, who could blame her? I mean, would you be interested in a dorky-looking guy trying to record a video of the traffic with a "feature phone"?

Pros and cons of the Nokia 150

Summarizing our findings, I liked the following:

• Excellent price
• Decent design for a feature phone and robust build quality
• Diminutive in size
• Excellent battery life
• Very easy to learn and use

However, there were also some things that I didn't like:

• THE SNAKE XENZIA GAME LAGS!
• The speaker is not powerful enough for outdoor use
• Not usable in 3G cellular networks
• Photos and videos taken with the Nokia 150 are like my love life: blurry and with low fidelity. 🙂

 

Verdict

The Nokia 150 is an average feature phone. I enjoyed the presence of a MicroSD card slot, the battery life and the simplicity and ease of use. Considering the small price tag and the 25+ days of battery life on standby, the phone is excellent as a backup phone. I always have a spare phone in my car, in a case of emergency. However, the small size and the weak speaker make the Nokia 150 unsuitable for elderly people or usage in noisy environments. The fact that it only supports 2G makes it even less appealing. If a comeback of feature phones is imminent, the Nokia 150 is certainly not its herald.

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